Nom de compte (forum et nwn): Krandeuf
Nom :
Mellia Dalaskern.
Dieu : proche de Tempus
https://aelor.actifforum.com/viewtopic.forum?t=49Race : Mi-humaine – mi-Elf.
Alignement : neutre mauvaise.
Classe départ :
roublard.
Multi classage :
Guerrier / Maître d’arme.
Age : 28 ans (mais on ne demande pas l’age d’une femme).
Mellia est née il y a une trentaine d’année dans un petit village de Haute Foret du nom de Arfrade (dans le sud de Féérune). Joli petit bourg prêt d’une immense foret et d’un bras de mer, l’endroit parfait pour une vie paisible et calme.
Dans ce village très particulier des humains et des Elfes se côtoyaient en harmonie, les elfs venant de leur village et les humains vivant sur le bord de mer. Certes le mélange des races n’était pas forcement bien vu, mais ça et là, en générale sur l’extérieur du village, des couples mixtes y vivaient simplement.
Mellia naquit de l’union d’une elfe et d’un humain, son père ayant succombé aux charmes d’une Elfe. Dans sa famille, sa sœur, qu’il n’avait vu depuis des années avait fait de même.
Mellia grandit, de sa mère elle acquit une grande dextérité de ses mains, de son père elle prit la force et le goût du combat rapproché. La beauté heureusement pour elle vint de sa mère.
Durant son adolescence, elle apprit à se battre, trois groupes de gamins se faisant la « guerre », humains, elfes et sang mêlés. Elle apprit de la rue, le vol, et l’art d’ouvrir les serrures, de son père le maniement des armes de guerre et les arcanes du combat.
Ainsi se déroula sa vie jusqu'à ses quinze ans, simple et tranquille.
Mais une guerre déclenchée par un chef orc sema le trouble dans cette paisible contrée.
Pour protéger le village les hommes en age de se battre se sont enrôlés dans la garde de la ville. Au paroxysme des combats, certaines femmes purent y rentrer.
Mellia, ne pouvant rester sans bouger, essaya de s’enrôler avec son père ; mais ses parents s’y opposèrent, jusqu’au jour ou son père disparut et fut déclaré mort au combat.
Les effectifs s’amenuisant, la ville fit appel a toutes les bonnes volontés, mais là encore Mellia ne partit pas au combat.
L’attaque fut terrible et la mère de Mellia fut grièvement blessée. Sur son lit de mort elle révéla la sordide histoire de son demi frère et sa honte de ne pas les avoir secouru.
Mellia laissa sa mère aux soins de sa famille Elfe, dans l’espoir fou de la sauver, mais elle n’osait même pas espérer.
Mellia se croyant orpheline, le cœur plein de haine et de vengeance courut en ville pour s’enrôler à son tour. Ivre de vengeance et de haine, elle se fit vite remarquer pour son courage, ou sa folie, et ses faits d’armes devant les ennemis.
Un maître d’arme qui dirigeait une garde d’élite la trouva fort belle et il voulu en faire sa femme, elle refusa ses avances lui promettant la mort si il venait a s’approcher un peu trop prêt d’elle.
L’homme ne s’en laissa pas compter, au bout d’un certain temps il trouva ce qu’il pouvait utiliser pour l’amadouer. Il lui promit si elle lui laisser au moins une chance de lui montrer sa valeur et sa personne de continuer a l’entraîner.
Mellia accepta cette offre, ne se doutant pas que l’homme sous son casque et ses aires de tueur était une personne instruite et très douce.
Mellia suivit un entraînement simple au combat et les choses de la vie aidant elle se laissa aller à un amour simple et sans passion.
Le maître d’arme se rendit très vite compte que Mellia n’était pas une humaine a part entière, il lui fallu un certain temps pour comprendre d’où lui venait cette agilité et cette grâce aux combats.
Il commença par jeu à lui enseigner les bases des maîtres d’arme, mais Mellia etait une élève redoutable et les bases furent acquises en peu de temps.
Il décida, vu que le calme était revenu et les orcs massacré, de poursuivre l’apprentissage des armes pour Mellia, elle suivit avec talent les cours dispensés par cet homme.
Sa formation était très dure, car faite pour les hommes en priorité.
Trois ans plus tard des informations arrivèrent a la garnison disant que des personnes étaient resté esclave des orcs depuis leur dernière attaque il y avaient cinq ans.
Ayant apprit tout ce qu’un soldat doit savoir, elle partie voir avec la garde si cela était vrai.
Des combats sanglants éclatèrent autour de mines qui semblaient désaffecté et dont des orcs survivants se servaient comme cache, repère et enclos a humain.
Un grand nombre de prisonniers furent libéré, à la grande surprise des combattants, les orcs avaient gardé les prisonniers vivants, mais dans un état pitoyable.
Mellia retrouva son père, blessé mais vivant sa haine retomba en grande partie de le savoir en vie.
Un certain temps passa, ils finirent par savoir que la mère était en vie.
Le père partit la chercher et peut-être si les elfs l’acceptaient vivre en marge de leur ville avec sa femme, mais loin des hommes, cela fut rendu plus simple car Mellia voulait rester dans la garde, elle y avait trouvé un semblant d’amour.
De plus secrètement ; elle voulait être en mesure d ‘aller chercher son cousin, la seul famille qu’elle eut.
Mellia fit ses huit années de garde à coté de son mari et maître d’arme, elle se sentait libre car ses parents étaient en lieu sur parmi les Elfs dans les bois.
Elle gravit les échelons et arriva à la fin de son service en tant que l’assistante du maître d’arme, elle n’était pas encore confirmée mais elle avait de très solides bases dans cet art difficile.
Un jour, une caravane transportant des choses de valeurs demanda au maître d’arme et de la garde de les escorter le plus loin possible....
Il ne rentra pas se soir la ni les cinq suivant, pas plus que de nouvelle il ne donna, un messager arriva quinze jours plus tard. Cette missive y annoncé l’attaque du convois, le convois a été sauvé mais le maître d’arme et chef de la garde y a trouvé la mort.
Mellia n’avait plus rien à attendre ici bas, elle pouvait prendre sa liberté de l’armée et de son mari parti mourir en campagne.
Elle parti courir le monde a la recherche de son unique famille et finir ce que le maître d’arme avait commence avec elle, dans l’espoir qu’elle prenne sa place dans l’armée.
Cela l’amena à traverser bien des régions et bien des contrées, se remettre en question bien des fois, mais l’utilisation de son art et la pratique quotidienne ne pourrait que la mettre sur le chemin qu’elle c’était elle-même tracé.
Ici commença pour elle une autre histoire et une autre vie...
// n'etant pas une fleche pour les bgs, merci de me dire ce qu'il faut que je corrige... //